Alors qu’il y a une grande inquiétude mondiale au
sujet de l’obésité, une femme à un point de vue un peu différent. Alors que la
majorité des gens tente de perdre du poids, Susanne Eman, 33 ans, tente de
gagner le plus de poids possible avant son mariage et du même coup, devenir la
femme la plus lourde du monde (Ref).
En ce moment, elle pèse 800 livres, et son objectif est d'atteindre un poids de
1800 livres (ref). Pour
atteindre son objectif, Susanne consomme environ 30 000 calories PAR JOUR. Selon Santé Canada,
une femme typique de son âge devrait consommer environ 1800 calories par jour (ref). Elle
mange donc plus de 16 fois son apport
calorique quotidien. Théoriquement, elle devrait gagner huit livres par jour!
Récemment, alors que Susanne
prenait les mesures pour sa robe de mariée, son tour de taille était de 108 cm (42.5
pouces ou 9 pieds) (ref)
! Pour une femme, une mesure ‘normale’ du tour de taille est de 80 centimètres (ou
31,5 pouces) (REF). Puisqu’il y a un lien entre le risque de
mortalité et avoir un tour de taille élevé, Susanne est de plus en plus à
risque de mourir jeune! Avec une
circonférence trois fois plus élevée que la valeur optimale, Susanne est à risque
élevé de développer le diabète de type 2, les maladies cardio-vasculaires et
d’autres conditions chroniques (ref).
Son fiancé Peter Clack, l’encourage !
Il est un cuisinier de formation et prépare la plupart de ses repas. Les deux amoureux se sont rencontrés sur un
site dédié à l’adoration des femmes obèses. Avec un peu de recul, son fiancé déclare qu’il
s’inquiète à propos de la santé de sa fiancée, mais il s’assure qu’elle mange
des aliments nutritifs et qu’elle demeure active grâce à la marche et la
natation (ref). Cependant, il est fort probable que Susanne aura
de la difficulté à continuer d’être active si elle devient trop lourde.
Il est aussi important de noter
que Susanne a deux enfants. Il a été démontré que les habitudes de vie des
parents ont un impact considérable sur leurs enfants, surtout en ce qui
concerne des choix alimentaires (ref). Dès lors, on ne peut que s’inquiéter du futur
de ses fils ! Malgré tous les risques associés
à la prise de poids, le but de Suzanne est de briser le préjuger qu’être obèse, c’est
mal. Attendons quelques années avant de lui reposer la question.
Peut-être aura t’elle changée d’avis?
Le post cette semaine a été écrit part Jennifer Vibert. Elle terminera son baccalauréat en kinésiologie à l’été 2012 à Regina
University. Elle travaille
présentement sous la supervision de Danielle Bouchard à University of Manitoba sur un
projet comparant deux types de suppléments suite à un entraînement en
musculation. L’objectif est de mesurer
les changements sur la composition corporelle et la force musculaire.
es tu folle de vouloir etre rosse comme ca ces pas croyable et son fiancer ne lenpeche pas de manger ces con
RépondreSupprimerEt pourtant, et surtout, les scientifiques s'inquiètent actuellement du gaspillage d'énergie que représente globalement l'obésité dans le monde et donc l'impact important de l'obésité sur l'écologie!
RépondreSupprimerquand je voit des populations en malnutrition si maigre et sous alimenter que je me demande encore comment ils tiennes et que je vois ça sa m'ecoeure la voir s'empifrer ainsi 16 fois plus que ce que sont corps a besoin sa me donne envi de gerber!
RépondreSupprimer????
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